En phase folliculaire : le corps est énergisé, porté par les oestrogènes, le ventre est moins ballonné, l'activité sera plus tonique, detoxifiante pour libérer le surplus d'hormones localisé au niveau du foie.
En période d'ovulation : le volume de l'utérus augmente, la température corporelle augmente, et la testostérone est au plus haut. Pour dépenser l'énergie, l'intensité de l'activité peut-être au plus haut.
Entre l'ovulation et les règles, c'est la phase lutéale où ballonnements, syndrome prémenstruel font leur apparition. L'utérus a doublé de volume. La progestérone est dominante, agit sur les neurotransmetteurs GABA. Durant cette phase, c'est donc plus propice aux relâchements des tissus musculaires, au calme.
Attention au stress élevé voleur de progestérone !
Si le stress devient chronique et que tu te retrouves dans un état de dérégulation HPA (fatigue surrénale), le corps produira davantage l'épinéphrine et la norépinéphrine.
Si tu es en proie à un stress chronique, un stress intense, que l'ovulation ne se produit pas pour différentes raisons, il n'y aura donc pas cette poussée de progestérone en 2ème partie de cycle et tu seras beaucoup plus susceptible de souffrir de symptômes dépressifs ou d'anxiété.
Le déséquilibre hormonal est intimement lié à l'anxiété. Il est toujours intéressant de venir travailler la cause du déséquilibre.